Une nuit d'orage .. [ PV Premier arrivé ^^]

Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 22/02/2007

Le ciel se déchaînait cette nuit la. Les cieux ne cessaient de gronder et la pluie n'en finissant plus de tomber. Une cavalière galoppait au loin, exigeant énormément de sa monture, un magnifique étalon à la robe noire. Des abris se dessinnaient plus loins, et Anwanamë, n'ayant plus rien à perdre, dirigea son cheval vers ceux-ci. Une fois arrivée, elle s'y abrita, après s'être assurée que son cheval serait confortable lui aussi dans les abris destinés à ceux de son espèce.

Une fois à l'intérieur, elle constata avec joie qu'elle était seule. Personne d'autre. Laissant ses armes sur la table, excepté le poignard qu'elle gardait dans sa botte, elle déposa sa cape, trempée, sur cette même table Ses flèches avaient heureusement été épargnée par la pluie. Sur le bras gauche de la jeune femme, une grande plaie était visible. Elle avait été attaquée en route par un groupe de briguants. Elle leur avait fait pousser leur dernier soupire, mais l'un des plus grands avaient réussi à lui lacérer le bras.
'' Voyons voir si la magie m'a abandonné ... ''
murmura-t-elle tout doucement.

Assise sur une chaise, elle placa sa paume droite au dessus de son bras gauche et laissa échapper une faible lumière noire. Le plus gros de la plaie se refermit après un long moment, mais, ne maîtrisant pas suffisament ses facultés, elle ne put se guérir complêtement .

'' Tant pis ! ''

Un bruit se laissit entendre vers l'extérieur. Reprennant la totalit de ses armes, mais ne remettant pas sa cape pour le moment, elle se concentra intensément, cherchant avec son ouie fine l'origine du bruit ...

Nombre de messages : 63 Date d'inscription : 04/02/2007

Bruit, sans doute fait par moi, qui me battait contre un daim pour avoir une fou*tue de noix. Mes oreilles plaquées et mes dents serrant l'aliment, tout mes muscles rétractées, montrant à quel point la colère m'envahissait. Mais malheureusement pour ma personne, le cerf dominant arriva au pas de course me montrant ses bois aiguîsés. Mes oreilles se plaquèrent de plus, et j'ouvrit grand la gueule pour laisser le petit partir avec mon dînez. Le cerf afficha un sourrire mauvais, et se cabra, en retombant à quelques pas de moi. Je retroussai mes babines, près à l'égorger... Mais au moment où je rétractai mes griffes, le sol commençait à vibrer. Je restai silencieux un moment, et aerçut le groupe de cervidés détaler comme des lièvres. Je m'écrasa donc au sol, l'oreille collée à celui-ci... Métal... Sabots... Mes oreilles tintèrent, et je bondis sur mes pattes, babines retrousées. je scrutai l'horizon des yeux, le peu de forêt quer contenait cet endroit était médiocre. J'aperçut un grand étalon, attaché, à la robe saillante et noire. Curieux étais-je, je trottinai furtivement parmi les broussailles. Le grand cheval harnaché me jetta un regad hargnieux, et je lui montrai mes crocs. Il se tint donc droit, et j'affichai une mine sastisfaite.

/ qu'est-ce ? /

Ma truffe se pointa vers une lumière, provenant des refuges. Je jettai un oeil vers le grand étalon frison, et détalai dans un galop fou, discret. Je glissai sur la vase, et m'arrêtai devant la fenètre. Mes oreilles tintaient, et par chance, un trou creusé par des vermines assez grand pour moi parsemait un mur. Je me faufilai donc par ce trou, rampant dans le "tunnel". Mes griffes entrées, me donnant de petites pattes bien douces, et mes oreilles qui tintaient , 'fallait rester vigilant. J'ignorai les insectes qui passaient près de moi, et j'arrivai finalement dans une ptite maison en chauime, habitée simplement par une elfe, grande et grise. Jerestai un moment caché dans l'ombre, dissimulant mon souffle avec celui du vent...

Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 22/02/2007

Un bruit distinct, une respiration parvennait aux oreilles de l'Elfe, qui encocha sur le champs une flèche. La corde de l'arc était tendu, et au moindre relâchement de sa propriétaire, la flèche irait se planter sauvagement sur sa cible, vivant ou non. Finalement, toujours sans bruit' Anwamanë fit un pas vers l'avant : ce fut trop pour l'Elfe. S'étant rapproché de la source du bruit, elle entendait à présent clairement quelqu'un respirer. Qui ? Elle n'aurait pu le dire. Certainement pas un Elfe, ni un humain. Une bête férroce ? C'est une possibilité à envisager. Mais elle avait survécut aux pillages, aux assassins de grands chemins et aux briguands assoifées de sang et d'argent : ce n'était pas un ours qui la tuerait, ou une autre bête de ce genre.

Toujours en position d'attaque, elle laissa partir sa première flèche vers l'inconnu. Tant pis si c'était un innocent : il n'avait qu'èa faire remarquer sa présence avant. La subitlité dont il faisait preuve prouvait que ses intentions ne pouvaient pas être pures. À quoi bon se cacher lorsqu'on vient en ami ? C'est toujours , du moins la plus part du temps, avec des intentions funestres que l'on use de ruse et de tromperie pour se cacher aux yeux des autres. Immédiatement, elle se remit en position de combat après que sa première flèche ait décollé, prête à en décocher une deuxième. C'est ce qu'elle fit, en reprennannt une troisième. Cette fois-ci, elle ne bougeait plus, attendant une rispote de son potentiel ennemi ...

Nombre de messages : 63 Date d'inscription : 04/02/2007

Je me figeai, en crispai mes muscles...La flèche était si bien décochée... Ahonio !? Je m'assied donc. Le vent rageait dehors, on l'entendait, ainsi qu'avec une bonne ouïe, percevant le son des sabots de l'étalon noir ici à l'exterieur. Mes oreilles se dressèrent lorsqu je vis les jambes de mon <adversaire> , aucunement tigrées comme celles d'Ahonio... Ne pouvant me retenir de plus, je rigolai un moment ans ma voix de canin, puis je m'ébrouai, posant mon regard vers l'elfe, tout en m'avançant.

/ Eh bien ! Vous avez le tir habile, vous ! /

J'applaudis de mes griffes puis je retombai sur mes pattes avant.

/ Nullement l'envie de vous déranger. J'vous aurez chopé du pain ou ne serais-ce qu'autre chose y semblant. /

J'hochai les épaules et fermit poliment les yeux.

/ Désolé. /

Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 22/02/2007

Cet homme avait l'air de se ficher complêtement d'elle, pire, de rire de l'Elfe. Les yeux enflammés, elle le vit se lever, et écoutit patiemment ses paroles, malgré le fait qu'elle brûlait de le remettre à sa place. L'arc toujours encoché et visant le loup. Abaissant finalement sa garde, elle lui tourna le dos et alla déposer son arc sur la table sans un mot. Finalement, posant ses deux mains sur la table, elle prit une grande inspiration .

- Je ... - commenca-t-elle d'une voix basse et dure.

- Je déteste ... QU'ON SE PAIT MA TËTE ! - ajouta-t-elle en se retournant brusquement, assénant un violent coup de pied à l'intrus, qui fut suivis d'un autre, tentant d'envoyer mordre la poussière plus loin à l'insolent.

Non seulement elle était sans cesse attaquée par des cargots de brigands, mais cet insolent osait se moquer d'elle ?!

Nombre de messages : 63 Date d'inscription : 04/02/2007

/ Bon... /

Je me récéptionnai au dernier coup, et une faible lueure assasine luisait dans mes yeux.

/ Vous en faites autant pour du pain? Eh bien, vous ne devez pas être aussi joviale le jour de l'halloween, vous /

fis-je en rigolant...

/ Bref je viens vous chopper du pain /

je lui tirai la langue, et bondis sur la table où était posté ses armes. Elle devait être une vraie guerrière... Quelle chance, car moi aussi j'en était un. Je déchirai un morceau du produit céréalier, laissant l'autre tout bien coupé. Puis je restai tendu un moment, la nargant de plus belle.

/ Eh bien? Qu'y a t-il? Vous venez à l'inchstant de perdre une part asshez importante de fotre repas? /

De mes yeux brigands, je la fixai un moment.

/ Vous allez me laisser partir chi rapidement? /

Je sourris, et regardai la chaîne qui pendais à ma jambe

/ Comme Ch'est dommache, moi qui venait à peine de m'amuser... /

Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 22/02/2007

- J'me fiche de mes repas, ce qui m'énerve, c'est vous ! - répliqua-t-elle immédiatement, lui décochant à nouveau plusieurs coups de pieds, l'envoyant valser au fond de la piece, rageuse.

- Vous avez envie de mourrire ou quoi ? - dit-elle simplement, passant un doigt sur la lame effilé du poignard au manche rouge qu'elle vennait de dédaigner.

- J'ai tué plus d'un homme, alors ne doutez pas de mes capacités ... - siffla-t-elle entre ses dents.

Prenant d'une main le reste des provisions, elle les jeta devant l'homme-animal.

- Maintenant, dégagez, j'ai autre chose à faire que vous endurez ... - dit-elle simplement, le foudroyant du regard.

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